ACHAT&ESCALATORS. L'un des premiers bâtiments à avoir été rénové, tout simplement parce qu'on y trouve de tout - de la nourriture aux vêtements, en passant par les médicaments et les meubles. Il avait résisté au séisme et seules quelques murs ont dû être reconstruits, et les boutiques remises en état. On décèle encore quelques traces de la catastrophe, mais les cicatrices commencent à disparaître, et la vie reprend doucement.

CAFE&THE Toutes sortes de boissons vous attendent au seul et unique café de Bristol, le "survivant" comme on l'appelle par ici. Il peut presque sembler étrange de vouloir manger des pâtisseries ou de boire un café entre amis après un telle catastrophe, mais c'est sans doute la meilleure manière de tourner la page : recommencer comme avant et accepter de reprendre avec les petits plaisirs de la vie.

JEUX&RELAXATION. Il faut bien l'avouer, ce n'est pas non plus Central Park, surtout après le tremblement de terre, mais à l'époque, il était énormément fréquenté. Certains arbres se sont effondrés ou ont été abattus, les jeux se sont écroulés, mais tout a été reconstruits, et aujourd'hui, tout est presque redevenu comme avant. On y organisaient parfois aussi des animations nocturnes qui réjouissaient petits et grands, et la mairie compte bien remettre ceci en place.

LIVRES&BD. C'est un des bâtiments qui ont le mieux résisté au séisme, et au bout de quelques mois seulement, il avait été rouvert - peut-être dans la but de changer les idées des habitants de Bristol, et de faire redémarrer le système scolaire, aussi.Des canapés moelleux, des tables et des chaises, d'immenses bibliothèques contenant des milliers de livres, épais, fins, longs ou courts. Il y a de jeunes étudiants qui travaillent sur leurs examens ou leurs rédactions. Et n'oublions pas non plus les mères de familles suppliant leurs aînés no-life d'ouvrir un livre.

INFIRMIERES&CHIRURGIE Construit à la va-vite après le séisme, l'hôpital de Bristol tient tout juste sur pieds ; le matériel est plutôt précaire et le personnel est complètement débordé, un an encore après la catastrophe. Accidents dus aux restes des décombres, à de plus petits séismes refaisant parfois leur apparition, etc. Les humanitaires se mêlent aux médecins anglais pour soigner ces victimes mais aussi tout les autres gens, qui, reprenant leurs vies, tombent eux aussi malades.